(aux Monuments aux Patates
et leurs vivifiants charniers)
Je suis charlie pas Tintin
Mon corps déchiré n’est pas papier
Sous le couteau et les bombes
Il tremble, en état de choc
Son sang ne se convertit pas
en encre pieuse des civilisations
Ses larmes, le tout-à-l’égout
Idéologique les ravale
Son esprit n’est pas,
Juif, chrétien, musulman…
Carnage et carnaval
Il aspire au genre humain
Alors tintin ! Bien fait pour moi !
Ça m’apprendra à vouloir vivre
Sans couteau ni bombes
Tous envoyés du ciel
Dont voici le message global :
Enragez-vous les uns les autres
Et étripez-vous au nom
De Coca et Nikov
Je suis charlie, salut !
Enchanté ! Moi ! C’est charpie !
Mon cher Guignol,
Si tu savais combien je suis heureux de te trouver avec ta tavelle toujours si prompte à cogner sur la bétise … la connerie … la haine
T’as t’y vu nos bons gones comment y z’ont sautés dans la rue, comment y sont pas restés pique-plante, pour que tu puisses encore cogner et cogner encore avec tous les mots de la fraternité.
Ah mon Guignol, ça, ça ravigotte. J’en suis encore tout bononi.
Toi non plus t’es pas resté dans ton pucier.
Tiens, comme la Merckel elle a fait à notre François, je te pète la miaille.
Fraternellement à toi, si tant CHARLIE depuis si temps de temps.
Merci
3 Responses
ÉTAT-CIVIL
(aux Monuments aux Patates
et leurs vivifiants charniers)
Je suis charlie pas Tintin
Mon corps déchiré n’est pas papier
Sous le couteau et les bombes
Il tremble, en état de choc
Son sang ne se convertit pas
en encre pieuse des civilisations
Ses larmes, le tout-à-l’égout
Idéologique les ravale
Son esprit n’est pas,
Juif, chrétien, musulman…
Carnage et carnaval
Il aspire au genre humain
Alors tintin ! Bien fait pour moi !
Ça m’apprendra à vouloir vivre
Sans couteau ni bombes
Tous envoyés du ciel
Dont voici le message global :
Enragez-vous les uns les autres
Et étripez-vous au nom
De Coca et Nikov
Je suis charlie, salut !
Enchanté ! Moi ! C’est charpie !
Mon cher Guignol,
Si tu savais combien je suis heureux de te trouver avec ta tavelle toujours si prompte à cogner sur la bétise … la connerie … la haine
T’as t’y vu nos bons gones comment y z’ont sautés dans la rue, comment y sont pas restés pique-plante, pour que tu puisses encore cogner et cogner encore avec tous les mots de la fraternité.
Ah mon Guignol, ça, ça ravigotte. J’en suis encore tout bononi.
Toi non plus t’es pas resté dans ton pucier.
Tiens, comme la Merckel elle a fait à notre François, je te pète la miaille.
Fraternellement à toi, si tant CHARLIE depuis si temps de temps.
Merci
Merci mon gone,
Je m’en va avec le père Gnafron boire un canon de beaujolais à ta santé !
A la revoyure,
Guignol